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Bernard Berger à Boulouparis

NCI : Votre notoriété s’est construite sur la BD Tonton Marcel ; n’y a-t-il pas eu des voix discordantes sur les clichés présentés ?

Tonton Marcel, c’est nous, c’est le soi ; mon intention était de montrer comment se construire, comment s’ouvrir aux autres ; j’ai voulu aussi faire de la dérision, vaincre ce qui est risible en nous. Finalement les gens adhèrent aux clichés car ils se reconnaissent avec leurs qualités et leurs défauts, leurs modes de vie.

NCI : Vous avez finalement contourné un écueil avec succès !

Oui, Tonton Marcel c’est 24 albums, qui présentent une vision différente, avec des désaccords et des tensions car l’histoire n’est pas encore apaisée.

NCI : Avez-vous d’autres lieux d’expression ?

En tant qu’illustrateur j’ai fait un livre avec mon fils, un conte sur la création du monde.

Il manquait la culture kanak à la TV ; les « Fables du Caillou », dessin animé diffusé sur France 3 et Canal T y ont pallié.

NCI : Parlez-nous de vos projets.

Il serait intéressant de pérenniser une telle manifestation, avec l’implication des institutions.